Habitudes et mobilité

Malgré une conscience des enjeux climatiques qui progresse, et des aménagements urbains de plus en plus favorables au vélo (pistes cyclables, vélos en libre service, parkings sécurisés) et de moins en moins aux voitures (embouteillages, difficultés de stationnement, prix de l’essence), le nombre d’automobilistes baisse lentement. Pourquoi ? A cause des habitudes !

Dans ce modèle, on peut activer ou désactiver les habitudes des individus. Ils choisissent alors leur mode de déplacement soit sur base du mode le plus fréquent lors de leurs derniers trajets (routines, habitudes), soit sur base de son évaluation objective. On peut ainsi observer l’inertie générée par les habitudes dans l’adaptation aux changements d’évaluation objective.

Ce modèle est une version très simplifiée du travail de thèse d’Alice Jacquier sur le projet SWITCH.

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